Concerto pour Tartagueule à quatre mains

 
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Et en musique, ça donne à peu près ça :

Pour ceux que ça intéresse, voici

La recette du Concerto pour Tartagueule à 4 mains :

Ingrédients :

  • Environ 70 kilos de grumeaux belliqueux fraîchement cueillis préférablement équipés de deux bras chacun avec des doigts au bout, de cordes vocales en bon état de marche et de mauvais esprit notoire,

  • Un piano avec plein de gammes qu’on sait pas sur laquelle on doit jouer,

  • 200 grammes de partition avec des notes qu’on sait pas ce que c’est,

  • 4 kilos de tabouret pour piano,

  • 1 bouquet garni d’insultes fleuries,

  • Le petit conseil en plus : pour la touche finale, prévoir des boules de Monsieur Quiès.

Mélangez le tout, laissez décanter dans une pièce phoniquement bien isolée et prétextez l’enterrement de la mémé de mon hamster pour fuir.



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Wifi blues

 
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Il en est des drames de l’adolescence comme de la pizza à la tartiflette : c’est lourd, démesuré, indigeste, superfétatoire et ça fait copieusement chier.



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De la subjectivité dans le décodage

 
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>> Extrait du “Dico Universel des parents qui n’assument pas, mais bon…” - Éditions Rholala Jaimeraisvouzyvoir

“On verra…” : Expression parentale déresponsabilisante fourre-tout à points suspensifs, floutants, hypothétifiants et diplomatico-calendegrecatoires permettant de reporter ou d’éviter des négociations quand c’est pas le moment parce que bon pfioulala si je dis non on n’est pas couché.

>> Extrait du “Dico Universel des enfants qui font des cacas nerveux sinon” - Éditions Salemoutard

“On verra…” : Oui !



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De la torture par logorrhée verbale

 
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Passées les deux premières minutes durant lesquelles on tente, avec toute la bonne volonté dont on dispose, de rester concentré et de caresser l’utopique ambition de comprendre la diarrhée verbale qui déferle sur nos synapses telle une avalanche, on finit immanquablement par lâcher la corde et sombrer dans un morne purgatoire où l’on n’a d’autre choix que d’attendre patiemment que la torture cesse.

D’ailleurs, à ce propos, il me revient en tête un passage du “Petit traité de phénoménologie post-structuraliste expliquée à mon hamster constipé” du philosophe Ludwig Von Hanouna : “Coin, coincoincoin, coin coincoin coincoincoin coin-coin coin !”.



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