De l'art de chanter une berceuse

Chers Compatoyens, Cousin Ignace Lapustule, ma pédale d'embrayage,

En ce deuxième jour béni de mon anti-gel où ma main droite se repose, c'est en chantant que nous entamons cet austère dimanche pourri de froidure polaire. Au menu du jour, après vocalises et échauffements d'usage, nous braillerons gaiment et de concert une délicieuse berceuse au rythme qui décolle le papier peint. Prêt ? C'est ici.

Toussapoil

Chers concipriotes, Tata Fernande, ma poêle à frire,

En ce jour béni de mes prémolaires où ma main droite se repose c'est la Fête du Striptease et du Slip Transparent au Grumeauland. Merci de laisser vos frusques au vestiaire avant d'entrer dans la Boîte à grumoblablas. Les plus frileux d'entre-vous sont autorisés à garder leurs chaussettes en laine de yack.
Et pour ceux qui ont envie de se dépoiler avec art une petite leçon ici .

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Un gros merci à Yuko pour ce chouette fanart clin-d'œil à Tata Nath :-)

La saga du popo, suite

La Grumeaugazette, Edition spéciale hors-série :
"La vie domestique dissolue d'un pot de chambre au Grumeauland".*

*En guise de préambule, pour les retardataires, un rappel des faits ici.

Fait divers
Accident de Baby-Popo

Le Bouffon de la République se coince le pâté de fesse dans un Baby-Popo.
L'heure est grave. Selon nos sources, à l'heure où nous mettons sous presse, après popo-extraction le Baby-Popo se trouverait en soins intensifs dans un état préoccupant. Il souffrirait de multiples fractures du PVC suite à une trop forte pression de l'imposant fessier bouffonesque. A ce jour, l'équipe médicale n'est pas en mesure de se prononcer sur le diagnostic de survie du pot de chambre.
En revanche, le bilan de santé du Bouffon est beaucoup plus rassurant. Aucune blessure grave, si ce n'est une belle entorse à l'amour-propre ainsi qu'une double fracture de la dignité.

La Saga du popo, préambule

Hé oui. Hélas, triple fois zut et fichtrediantre, Sa Sérénissime Grumeauté appartient à l'espèce de Grumeau Poporéfractaire du sous-ordre des Jechiepadanlpo.

Bien entendu, lorsque pour corser le tableau clinique la popophobie du Grumeau le pousse jusqu'à refuser tout net de poser l'ombre même d'un soupçon de son auguste popotin sur la boîte à caca, ça devient éminemment fâcheux à négocier.

Alors s'armant de patience et faisant fi de son amour-propre, la Maman-Grumeau, à court d'arguments, choisit dans un élan désespéré des options éducatives hautement improbables et inefficaces allant jusqu'à sacrifier ses propres miches sur l'autel de la popo-cause.

Et là, j'en entends déjà un ou deux d'entre toi le Ninternaute quelque peu interloqué et franchement interrogatif se demandant :
"Bon, admettons. Pourquoi pas. Et alors ? Qu'est-ce qu'elle y gagne à faire ça ?"

Hé bien, tu le sauras demain...