Wifi blues

 
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Il en est des drames de l’adolescence comme de la pizza à la tartiflette : c’est lourd, démesuré, indigeste, superfétatoire et ça fait copieusement chier.




De la subjectivité dans le décodage

 
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>> Extrait du “Dico Universel des parents qui n’assument pas, mais bon…” - Éditions Rholala Jaimeraisvouzyvoir

“On verra…” : Expression parentale déresponsabilisante fourre-tout à points suspensifs, floutants, hypothétifiants et diplomatico-calendegrecatoires permettant de reporter ou d’éviter des négociations quand c’est pas le moment parce que bon pfioulala si je dis non on n’est pas couché.

>> Extrait du “Dico Universel des enfants qui font des cacas nerveux sinon” - Éditions Salemoutard

“On verra…” : Oui !




De la torture par logorrhée verbale

 
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Passées les deux premières minutes durant lesquelles on tente, avec toute la bonne volonté dont on dispose, de rester concentré et de caresser l’utopique ambition de comprendre la diarrhée verbale qui déferle sur nos synapses telle une avalanche, on finit immanquablement par lâcher la corde et sombrer dans un morne purgatoire où l’on n’a d’autre choix que d’attendre patiemment que la torture cesse.

D’ailleurs, à ce propos, il me revient en tête un passage du “Petit traité de phénoménologie post-structuraliste expliquée à mon hamster constipé” du philosophe Ludwig Von Hanouna : “Coin, coincoincoin, coin coincoin coincoincoin coin-coin coin !”.




Reconfinement et syndrome post-traumatique

 
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Souvenez-vous, au printemps dernier, l’épreuve 100 mètres ‘Anap’us des courses au Drive pendant le confinement >>> ICI

Voyons le bon côté des choses, le COVID aura l’avantage de nous épargner le casse-tête du menu des repas de Réveillon : ce sera Soupe de pangolin cul-de-jatte du Périgord pour tout le monde !