Oui, parfois j'ai la neurone qui déraille frénétiquement en frisant la débilitude (oui je sais, on dit un neurone mais la mienne à moi appartient au genre féminin). Et dans ces tristes moments de défaillance juvénile, je me surprend à fredonner à ma fille les joyeux tubes qui ont bercé mon enfance.Pour ceux d'entre-toi, sémillant internaute, qui ne reconnais pas les paroles de la chanson, c'est fort probablement parce que tu es jeune et là, ça me déprime.
Et pour ceux qui ont reconnu l'air, c'est probablement que vous êtes de vieilles croûtes comme moi et là en revanche, ça me réjouit de ne pas être la seule.